La partie est de la réserve, du côté de Grand-Fort-Philippe est constituée de vasières. Avant le classement en réserve naturelle nationale en 1987 l’endroit était occupé par des mares de chasse et des huttes. Des chenaux ont été aménagés afin de permettre à l’eau de mer d’alimenter ces mares à marée haute. Désormais il ne subsiste plus que quelques huttes situées sur le territoire de la commune de Grand-Fort. Elles sont à l’extérieur de la réserve.
Cet ensemble de mares et de chenaux forme les vasières. C’est le domaine des limicoles et de nombreux autres oiseaux qui y trouvent leur casse croûte.
La plage du casino, au droit de l’abri côtier sur l’ouest de la réserve se poldérise naturellement depuis le début des années 2000. On y rencontre désormais une végétation similaires aux vasières de l’est.
L’obione
La salicorne
La bette maritime
La lavande de mer
La spartine