L’alliaire officinale se rencontre au printemps en bordure de chemin aux abords de la dune à fourrés, à la mi-ombre des arbustes. Elle aime bien les sols frais et riches en azote. Cette plante commune de la famille du chou, du diplotaxis ou encore du cakilier n’est pas caractéristique du milieu dunaire.
L’alliaire officinale se rencontre au printemps en bordure de chemin aux abords de la dune à fourrés, à la mi-ombre des arbustes. Elle aime bien les sols frais et riches en azote. Cette plante commune de la famille du chou, du diplotaxis ou encore du cakilier n’est pas caractéristique du milieu dunaire.
Elle doit son nom au fait qu’elle dégage une odeur d’ail, tout particulièrement si vous froissez ses feuilles. Les feuilles sont cordiformes -en forme de cœur-, dentées et, si ce n’est cette odeur d’ail, pourraient se confondre avec celles de l’ortie.
Elle doit son nom au fait qu’elle dégage une odeur d’ail, tout particulièrement si vous froissez ses feuilles. Les feuilles sont cordiformes -en forme de cœur-, dentées et, si ce n’est cette odeur d’ail, pourraient se confondre avec celles de l’ortie.
Autrefois elle a été utilisée comme plante médicinale, on lui a prêté des propriétés diurétiques. Elle était aussi employée pour lutter contre les rhumatismes, l’asthme et la goutte.